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dimanche 21 mai 2017

302. La famille Wolowski 2 : selon Théodore Jeske-Choinski (suite)

Quelques informations sur la famille Wolowski : les membres notables de la famille, selon un livre de Théodore Jeske-Choinski (traduction et analyse de l’extrait)


Classement : histoire de la Pologne ; Juifs convertis ; famille Wolowski




Troisième partie : La nationalité de Frédéric Chopin, notamment :



Ceci est la suite des pages
dans laquelle je présente l’auteur et l’ouvrage référencé ci-dessous et donne le texte original (en polonais) consacré à la famille Wolowski.
Je poursuis ci-dessous avec la traduction de ce texte et l’analyse des données.

Sommaire de la page
La famille Wolowski
Traduction
Analyse

La famille Wolowski
Cette famille polonaise est en partie devenue française à l’occasion de la Grande Emigration, à laquelle ont participé François Wolowski (1776-1844), juriste, et son fils Louis (1810-1876), naturalisé français en 1834. Un autre membre illustre de cette famille est la musicienne Marie Szymanowska née Wolowska (1789-1831).
Il s’agit d’une famille anciennement juive de la ville de Rohatyn, issue d’Elisha Shor (mort en 1757), dont les enfants se sont convertis au christianisme au milieu du XVIIIème siècle dans le cadre d'un mouvement religieux messianique créé par Jacob Frank (1726-1791).
Ce mouvement est évoqué plus en détail sur la page La famille Wolowski 2 : selon Pawel Maciejko (présentation de l’ouvrage).

Référence de l’ouvrage
*Teodor Jeske-Choiński, Neofici polscy: materyałly historyczne [Les Néophytes polonais (=Les Frankistes), matériaux historiques, Varsovie, Imprimerie Laskauer (Druk Piotra Laskauera), 1904 (version numérisée, non corrigée : lien)

Extrait (traduction)
Je traduis ici les pages 99 à 102 du livre. J'indique en gras les personnages cités. 

« [Page 99]
Les Wolowski.
Cette illustre famille frankiste vient de Rohatyn* et de Satanow*. Son fondateur est le vieux Lucas François Wolowski (Salomon ben Eliasz, dit Shloma de Rohatyn), qui, un des premiers, se rallia au frankisme, en même temps que ses fils : François, Joseph, André et Lucas François. Dominique Krysinski et lui étaient les plus capables de toute la « société » [les Frankistes], tous deux s’exprimaient au nom des anti-talmudistes, les représentaient auprès des autorités, menaient le combat polémique. Krysinski, établi à Varsovie, continua de servir Frank seulement indirectement, en lui fournissant de l’argent. Wolowski, accompagné de ses fils, vint auprès du maître à Czenstochowa*, puis à Brno et à Offenbach, où il servit aussi sa fille. Il atteignit un âge très avancé.

En plus du vieux Shloma de Rohatyn et de ses fils, reçurent le baptême à Lwow : Joseph, Jean, Félix, Michel, Louis, Henri, Thomas Wolowski, ainsi que leurs femmes et leurs enfants et Jean Kanty Raphaël Wolowski de Satanow, fils de Henri Selwichowicz et de Soura [?].

Les Wolowski furent une famille frankiste des plus prolifiques. Au début du XIXème siècle, ils comptaient quelques dizaines de chefs de famille. Et ils étaient les plus capables de toute la « société ». Un grand nombre d’hommes actifs dans différents domaines est sorti de leur sang. Même les femmes de cette famille [Page 100] talentueuse se distinguaient par de peu communes capacités et vertus citoyennes. Toutes les maisons frankistes, dans lesquelles une Wolowska est entrée comme épouse et mère, ont fourni des gens capables.

François Wolowski, député à la Diète pour la ville de Plock* en 1818.

Jean Kanty Wolowski (1803-1864), juriste actif. D’abord avocat, puis procureur du Sénat, membre de la commission établie en vue de la révision du projet de code civil pour le royaume de Pologne, en 1861 directeur principal de la justice, en 1862 professeur de droit et doyen de la faculté juridique de l’ex-Ecole principale de Varsovie, rédacteur de la « Bibliothèque de Varsovie », auteur d’un ouvrage scientifique intituléTraité du code civil, publié en 1865, après sa mort. C’était un homme d’un grand savoir et de vertus citoyennes élevées, d’une nature si haute et désintéressée, qu’il donnait (gratuitement) son enseignement aux étudiants pauvres.

Bronislaw Wolowski, frère cadet de Jean Kanty, journaliste, lettré, auteur d’un ouvrage en français intitulé Dombrowski et Versailles, d’un ouvrage en polonais intitulé Du souvenir de l’émigration (1873), fut pendant un certain temps à Vienne, rédacteur du périodique Messager de Vienne* consacré aux causes ????.

Louis François Michel Raymond Wolowski (1810-1876), économiste réputé, fils de François le député de Plock à la diète (1810-1876), en 1831 capitaine d’artillerie et vice-référendaire du Conseil d’Etat. Envoyé à Paris comme secrétaire de la légation, a [depuis lors] habité en France à demeure. En 1834, avec Faucher*, il a commencé de faire paraître à Paris le périodique Intitulé [Page 101] Revue de législation et de jurisprudence. En 1839 le gouvernement français le nomma professeur de droit à l’Ecole des Arts et Métiers, en 1848 il fut élu de Paris à l’Assemblée constituante. Il fut aussi créateur du Crédit foncier de France. En 1875, il entra au Sénat français et fut président de la société centrale agricole pour la France*.
Il a écrit toute une série de traités d’économie en langue française.

Michel Casimir Wolowski (1851-1900), fils de Thomas et de Josépha née Maleszewska, lettré, romancier, dramaturge et directeur de théâtre à Lodz. Il a écrit des romans et récits : Les Sauvages, Chez soi à l’étranger, En route pour le pain, Le Petit Tsigane, Il était juif, Piekielko*, Les Enfants de Varsovie, Le Dernier Coup de tonnerre. Des drames et des comédies : Le Diable de Venise, Des gens géniaux, ????, Cela ne convient pas, Le Fou et le joueur de luth, Alcibiade, etc. Il fut le fondateur de l’hebdomadaire La Voix. En 1888, il épousa Marie, fille de Napoléon Dobiecki et de Pauline Beldowska.

Marie Wolowska épouse Szymanowska (morte en 1832), pianiste réputée.

Adam Wolowski (mort en 1865), directeur de la Monnaie de Varsovie.

Adam Wolowski, marié avec Barbara Maryewska, banquier, collaborateur du banquier Salvien Jakubowski, il eut trois fils : Ladislas, Stanislas, François et une fille : Félicie, qui épousa en 1850 le comte Bronislaw Lasocki (président du conseil de surveillance de la Banque du Commerce et de l’Industrie à Cracovie, propriétaire foncier).

Les enfants de Ladislas, fils d’Adam, et de Josépha née Szymanowska
1) Adam, propriétaire foncier, propriétaire [Page 102] d’Orszewice dans le district de Lenczyca, marié 1° avec Marie Koziello-Poklewska, 2° avec la princesse Stéphanie Woroniecka.
2) Ladislas, propriétaire de Wilczogora dans le district de Grojec, marié avec Krzywoszewska.
3) Léon, ancien associé du banquier Rawicz, marié avec Joanna Wolff, fille d’un libraire de Saint-Pétersbourg.
4) Laure Léone Grabowska
5) Josépha Wieloglowska de Ruda Maleniecka

La fille de Stanislas (second fils d’Adam), marié à une demoiselle Rawicz*, Edwige, épousa le comte Antoine Potulicki.

Stanislas Wolowski, propriétaire du domaine de Kaski, avocat, juge de grande instance du royaume de Pologne, député à la diète, anobli en 1823 dans le clan Czerwony (« Na Kaskach »).

Jean et Théodore Wolowski, anoblis en 1839 dans le clan Bawol avec la devise : Honore Dieu et sers ton roi.

Albert Wolowski fut avocat à Varsovie. Son fils ????, Joseph (mort en 1899), avocat à Lublin, marié 1° avec une demoiselle Gerlicz, 2° avec une Bleszczynska

Edwige Wolowska, fille de Félix, épouse de ???? Jasienski. Elle eut un fils, Félix Jasienski, critique d’art contemporain, auteur d’un ouvrage en français intitulé Manggha*, protecteur de la peinture japonaise. »

Notes
*Rohatyn : village de Podolie
*Satanow : village de Podolie
*Czenstochowa : ville de Pologne
*Plock : ville de Pologne
*Messager de Vienne : périodique publié à partir de 1876 (lien)
*la légation : la représentation du gouvernement polonais insurgé, en 1830-1831
*Faucher : Léon Faucher (1803-1854), gendre de François Wolowski en 1837
*Revue de législation et de jurisprudence. : créée en 1834 (lien), devient Revue critique de législation et de jurisprudence en 1854 (lien)
*la société centrale agricole pour la France : il s’agit sans doute de la Société agricole (1858-1861) (lien)
*Piekielko : sans doute le nom d’un village situé au sud de Varsovie, non loin de Grojec
*une demoiselle Rawicz : en polonais, Rawiczówną (« fille de Rawicz, Mlle Rawicz »)
*Manggha : le titre complet de l’ouvrage est Manggha: promenades à travers le monde, l'art et les idées (Paris, Vieweg et Varsovie, Fiszer, 1901) ; l’auteur a aussi utilisé le mot Manggha comme pseudonyme

Analyse
1) Théodore Jeske-Choinski semble confondre Salomon/Lucas François Wolowski et son père Elisha (qu’il nomme ici Eliasz, en polonais) ; l’ancêtre fondateur, selon lui, n’est pas Elisha, mais Salomon.
2) Il attribue à celui-ci un séjour à Brno et Offenbach auprès de Jacob Frank ; le séjour à Offenbach est attesté (voir page La famille Wolowski 2 : selon Pawel Maciejko 2), pas celui à Brno.
3) il attribue à Salomon 4 fils :
*François
*Joseph,
*André
*Lucas François.
4) il évoque d’autres membres de la famille Wolowski (Joseph, Jean, Félix, Michel, Louis, Henri, Thomas Wolowski) parmi lesquels on retrouve des prénoms connus (voir pages précédentes) : Jean, Michel, Henri ; en revanche, à ce niveau, Félix, Louis et Thomas sont inédits, ainsi que Jean Kanty Raphaël.
5) en ce qui concerne ce dernier, il est le fils de « Henri Selwichowicz » (à venir)
6) en ce qui concerne François Wolowski, son rôle comme député en 1818 est à vérifier.
7) en ce qui concerne Adam Wolowski, il est probable qu’il n’y en a qu’un seul, malgré les apparences.
8) en ce qui concerne Stanislas Wolowski, il lui attribue des caractéristiques dévolues par ailleurs à François Wolowski (anoblissement en 1823, propriété de Kaski)
9) dans l'ensemble, le texte de Théodore Jeske-Choinski est un peu confus et nécessite un certain nombre de vérifications.

A suivre



Création : 21 mai 2017
Mise à jour : 23 mai 2017 (analyse)
Révision : 4 juillet 2017
Auteur : Jacques Richard
Blog : Sur Frédéric Chopin Questions historiques et biographiques
Page : 302 La famille Wolowski 2 : selon Théodore Jeske-Choinski (suite)
Lien : http://surfredericchopin.blogspot.fr/2017/05/jeske-choinski-suite.html








vendredi 19 mai 2017

301. La famille Wolowski 2 : selon Théodore Jeske-Choinski

Quelques informations sur la famille Wolowski : les membres notables de la famille, selon un livre de Théodore Jeske-Choinski


Classement : histoire de la Pologne ; Juifs convertis ; famille Wolowski




Troisième partie : La nationalité de Frédéric Chopin, notamment :



Ceci est la suite des pages
 Je présente ci-dessous le livre de Théodore Jeske-Choinski (1854-1920).

Sommaire de la page
La famille Wolowski
Le livre
*Référence
*L’auteur
*Contenu de l’ouvrage
Extraits
Analyse

La famille Wolowski
Cette famille polonaise est en partie devenue française à l’occasion de la Grande Emigration, à laquelle ont participé François Wolowski (1776-1844), juriste, et son fils Louis (1810-1876), naturalisé français en 1834. Un autre membre illustre de cette famille est la musicienne Marie Szymanowska née Wolowska (1789-1831).
Il s’agit d’une famille anciennement juive de la ville de Rohatyn, issue d’Elisha Shor (mort en 1757), dont les enfants se sont convertis au christianisme au milieu du XVIIIème siècle dans le cadre d'un mouvement religieux messianique créé par Jacob Frank (1726-1791).
Ce mouvement est évoqué plus en détail sur la page La famille Wolowski 2 : selon Pawel Maciejko (présentation de l’ouvrage).

L’ouvrage
Références
*Teodor Jeske-Choiński, Neofici polscy: materyałly historyczne [Les Néophytes polonais (=Les Frankistes), matériaux historiques, Varsovie, Imprimerie Laskauer (Druk Piotra Laskauera), 1904 (version numérisée, non corrigée : lien
*Idem, Wydawnictwo Antyk-Marcin Dybowski, 2015

L’auteur
Théodore Jeske-Choinski (Teodor Jeske-Choiński, 1854-1920) : écrivain et historien polonais, d’orientation conservatrice, plutôt antisémite ; auteurs de nombreux ouvrages, dont quelques-uns sur le judaïsme.

Contenu
L’ouvrage ne comporte pas de table des matières. Une bonne part est consacrée à un catalogue de personnalités du mouvement frankiste.

Extraits
Je reproduis ici les pages 99 à 102 (version numérisée corrigée) consacrées aux membres de la famille Wolowski. Quelques mots (marqués ??????) ne sont pas lisibles dans cette version.

Page 99
« Wołowscy.
Ten znakomity dom frankistowski pochodzi z Rohatyna i Satanowa. Założycielem jego był stary Łukasz Franciszek Wołowski (Salomon ben Eljasz, zwany Szlomą z Rohatyna), który przystąpił razem z synami swoimi: Franciszkiem, Józefem, Andrzejem i Łukaszem Franciszkiem jeden z pierwszych do frankizmu. Był on z Dominikiem Krysińskim najzdolniejszym z całej « kompanii »; obaj przemawiali w imieniu kontratalmudystów, reprezentowali ich wobec władzy, prowadzili bój polemiczny z przeciwnikami. Krysiński, osiadłszy w Warszawie, służył Frankowi dalej tylko pośrednio, dostarczając mu pieniędzy. Wołowski zaś z synami poszedł za mistrzem do Częstochowy, następnie do Brna i Offenbachu, gdzie służył jeszcze jego córce. Doczekał się lat bardzo sędziwych.

Oprócz starego Szlomy z Rohatyna z synami ochrzcili się we Lwowie: Wołowscy Józef, Jan, Feliks, Michał, Ludwik, Henryk, Tomasz z żonami i dziećmi i Wołowski Jan Kanty Rafał z Satanowa, syn Henryka Selwichowicza i Sury.

Wołowscy byli najwięcej rozrodzonym domem frankistowskim. W początkach XIX stulecia liczyli kilkadziesiąt głów męzkich. I byli najzdolniejsi z całej « kompanii ». Szereg mężów, zasłużonych na różnych polach, wyszedł z ich krwi. Nawet kobiety tej
  
Page 100
utalentowanej rodziny odznaczały się niepospolitemi zdolnościami i cnotami obywatelskiemi. Wszystkie domy frankistowskie, w które weszła Wołowska jako zona i matka, wydały ludzi zdolnych.

Wołowski Franciszek, deputowany na sejm z m. Płocka w r. 1818.

Wołowski Jan Kanty (ur. 1803 um. 1864), zasłużony prawnik. Na sam przód obrońca, potem prokurator senatu, członek komisyi, ustanowionej do przejrzenia projektu kodeksu cywilnego dla Królestwa Polskiego, w r. 1861 dyrektor główny sprawiedliwości, w r. 1862 profesor prawa i dziekan wydziału prawnego w b. Szkole głównej w Warszawie, współredaktor « Biblioteki Warszawskiej », autor dzieła naukowego p. t: « Wykład kodeksu cywilnego », wydanego po jego śmierci w r. 1866. Był mężem wielkiej nauki i wysokich cnot obywatelskich, naturą tak hojną i bezinteresowną, iż swoją pensyę profesorską oddawał ubogim studentom.

Wołowski Bronisław, bratanek Jana Kantego, publicysta, literat, autor dzieła francuskiego p. t: Dombrowski et Versailles, polskiego p. t: Z pamiętnika tułacza (1873), był przez pewien czas w Wiedniu redaktorem czasopisma, poświęconego sprawom ???? dnim p. t: « Messager de Vienne ».

Wołowski Ludwik Franciszek Michał Rajmund, znakomity ekonomista, syn Franciszka, deputowanego na sejm z miasta Płocka (ur. 1810 um 1876), w roku 1831 kapitan artyleryi i wice referendarz Rady Stanu. Wysłany do Paryża jako sekretarz legacyi, zamieszkał we Francyi na stałe. W r. 1834 zaczął razem z Faucher'em wydawać w Paryżu czasopismo

Page 101
p. t.: Revue de legislation et de jurisprudence . W r. 1839 mianował go rząd francuski profesorem prawa w szkole sztuk i rzemiosł, w r. 1848 wybrał go Paryż do Zgromadzenia konstytucyjnego. On to był twórcą francuskiego kreditu gruntowego {Crédit foncier). W r. 1875 wszedł do senatu francuskiego i był prezesem centralnego towarzystwa rolniczego dla Francyi. Napisał cały szereg rozpraw ekonomicznych w języku francuskim.

Wołowski Michał Kazimierz, syn Tomasza i Józefy z Maleszewskich (ur. w 1851 um. 1900), literat, powieściopisarz, komedyopisarz i dyrektor teatru w Łodzi. Napisał nowele i powieści: « Dziwni », « U swoich na obczyźnie », « W drodze za chlebem », « Cyganiątko », « Był Żydem », « Piekiełko », « Dzieci Warszawy », « Ostatni piorun ». Dramaty i komedye: « Dyabeł wenecki », « Genialni ludzie », « Mamgo » [?], « Nie wypada », « Trefniś i lutnista », «  Alcybiades » i i. Był założycielem tygodnika « Głos ». Zaślubił w r. 1888 Maryę Dobiecką, córkę Napoleona i Pauliny Bełdowskej.

Wołowska Marya, zamężna Szymanowska (zmarła 1832), znakomita fortepianistka.

Wołowski Adam (um. 1865) dyrektor mennicy warszawskiej.

Adam Wołowski, żonaty z Barbarą Maryewską, bankier, wspólnik bankiera Salwiana Jakubowskiego, miał synów: Władysława, Stanisława, Franciszka i córkę Felicyę, która wyszła w r. 1850 za hr. Bronisława Lasockiego, prezesa rady nadzorczej banku dla handlu i przemysłu w Krakowie, obywatela ziemskiego.

Dzieci Władysława, syna Adama i Józefy z Szymanowskich:
1) Adam, obywatel ziemski, właściciel

Page 102
Orszewic w powiecie łęczyckim, żonaty 1° z Maryą Koziełło-Poklewską, 2° z księżniczką Stefanią Woroniecką.
2) Władysław, właściciel Wilczogóry w powiecie grójeckim, żonaty z Krzywoszewską,
3) Leon, były wspólnik bankiera Rawicza, żonaty z Joanną Wolff, córką księgarza petersburskiego.
4) Laura Leonowa Grabowska.
5) Józefowa Wielogłowska z Rudy Malenieckiej.

Córka Stanisława (drugiego syna Adama), żonatego z Rawiczówną, Jadwiga, zaślubiła hr. Antoniego Potulickiego.

Wołowski Stanisław, właściciel dóbr Kaski, męcenas, sędzia najwyższej instancyi Królestwa Polskiego, poseł na sejm, nobilitowany w roku 1823 z herbem Czerwony (« Na Kaskach »).

Wołowscy Jan i Teodor, nobilitowani w r. 1839 z herbem Bawół z dewizą: Deum cole regem serva.

Wołowski Wojciech był adwokatem w Warszawie. Jego syn ????, Józef, adwokat w Lublinie, żonaty 1° z Gerliczówną, 2° z Błeszczyńską (um. w r. 1899).

Wołowska Jadwiga, córka Feliksa, zamężna Zdzisławowa Jasieńska. Tejże syn Feliks Jasieński, współczesny estetyk, autor dzieła francuskiego p. t. « Manggha » protektor malarstwa japońskiego. »

A venir
Traduction
Analyse

A suivre



Création : 19 mai 2017
Mise à jour : 20 mai 2017 (corrections orthographiques)
Révision : 4 juillet 2017
Auteur : Jacques Richard
Blog : Sur Frédéric Chopin Questions historiques et biographiques
Page : 301 La famille Wolowski 2 : selon Théodore Jeske-Choinski
Lien : http://surfredericchopin.blogspot.fr/2017/05/theodore-jeske-choinski.html

































mercredi 17 mai 2017

299. La famille Wolowski 2 : selon le site Wirtualny Sztetl

Quelques informations sur la famille Wolowski : les descendants d’Elisha Shor


Classement : histoire ; Pologne ; juifs polonais ; juifs convertis ; réfugiés polonais




Troisième partie : La nationalité de Frédéric Chopin, notamment :



Ceci est une suite des pages

Sommaire de la page
Introduction
*la famille Wolowski
*le site Wirtualny Sztetl
Extraits
Analyse

Introduction
La famille Wolowski
Cette famille polonaise est en partie devenue française à l’occasion de la Grande Emigration, à laquelle ont participé François Wolowski (1776-1844), juriste, et son fils Louis (1810-1876), naturalisé français en 1834. Un autre membre illustre de cette famille est la musicienne Marie Szymanowska née Wolowska (1789-1831).
Il s’agit d’une famille anciennement juive de la ville de Rohatyn, issue d’Elisha Shor (mort en 1757), dont les enfants se sont convertis au christianisme au milieu du XVIIIème siècle dans le cadre d'un mouvement religieux messianique créé par Jacob Frank (1726-1791).
Ce mouvement est évoqué plus en détail sur la page La famille Wolowski 2 : selon Pawel Maciejko (présentation de l’ouvrage).
Dans ces pages, j’analyse les sources disponibles en essayant de déterminer qui sont les descendants d’Elisha Shor. Après le site Jewish Virtual Library (JVL), je présente et étudie le site Wirtualny Sztetl.

Le site Wirtualny Sztetl
Ce site est consacré à l'histoire des Juifs de Pologne (lien).
J'utilise ici précisément la page sur l’histoire du village de Rohatyn (lien)
Cette source, en polonais, transcrit le nom « Shor » soit Szor (graphie polonaise), soit Schorr (graphie allemande).

Extraits
*Elisha Shor
« Pierwszym zwolennikiem sabataizmu w Rohatynie był Elisza Szor (Elisha Schorr), potomek rabina Zalmana Naftali Szora (Rabbi Zalman Naftali Schorr), autora traktatu „Tewuos Szor” (Tevuos Shor). »
Traduction
[Le premier adepte du sabatianisme à Rohatyn fut Elisha Shor, descendant du rabbin Salman Nephtali Shor, auteur du traité Tevuos Shor]
« Pod koniec 1757 roku frankiści, w tym Elisza Szor, udali się wraz ze swoim przywódcą, Frankiem, do Turcji. [...en Turquie] Szor został wkrótce aresztowany i zmarł w tamtejszym więzieniu w 1757 roku[1.12] »
Traduction
[Vers la fin de 1757, des frankistes, parmi lesquels Elisha Shor, se rendirent avec leur guide, [Jakob] Frank, en Turquie ; là, Shor fut rapidement arrêté et mourut dans une prison de ce pays en 1757]

*Enfants d’Elisha
« W 1759 roku, kilkudziesięciu frankistów przeszło na chrześcijaństwo, a wśród nich, w dn. 12.11.1759 r. we Lwowie, Szlomo Szor (Salomo ben Elisha Shor), syn Elisz Szora, który na chrzcie otrzymał imię Franciszek Łukasz Wołowski. Miał on trzech braci: Michała (Natan ben Elisha Shor), Jana (Jehuda ben Elisha Shor) i Henryka (Icchak ben Elisha Shor) Wołowskich. »
Traduction
[En 1759, quelques dizaines de frankistes se convertirent au christianisme, et parmi eux, le 12 novembre 1759, à Lwow, Shlomo Shor (Salomon ben Elisha Shor), fils d’Elisha Shor, qui, au baptême, prit le nom de François Lucas Wolowski. Il avait trois frères : Michel (Nathan ben Elisha Shor), Jean (Jehuda ben Elisha Shor) et Henri (Icchak ben Elisha Shor) Wolowski]

Petits-enfants d’Elisha
Fils de Salomon-François Lucas
1) François Lucas
 « Syn Szlomo, również Franciszek Łukasz Wołowski, podobno miał zostać sekretarzem Stanisława Augusta Poniatowskiego, jednak brakuje źródeł historycznych, które jednoznacznie potwierdziłyby tę informację. »
Traduction
[Le fils de Salomon, également appelé François Lucas, put vraisemblablement devenir secrétaire de Stanislas Auguste Poniatowski, cependant on manque de sources historiques capable de garantir cette information.]
2) François Xavier
« Drugi z synów Szlomo, Franciszek Ksawery Wołowski, doczekał się licznego potomstwa, w tym Jana i Teodora Wołowskich, którzy zostali nobilitowani (Jan w 1839 r.). Nadano im herb Bawół. » 
Traduction
[Le second fils de Salomon, François Xavier Wolowski, ???? une nombreuse postérité, dont Jean et Théodore Wolowski, qui furent anoblis (Jean en 1839). Ils devinrent membre du clan Bawol]

Filiation non indiquée
3) Paul (Pawel ; cf. infra, Jan Kanty)
Selon le site Sejm Wielki (lien), Paul Wolowski a vécu de 1778 à 1831 ; il a un fils (non nommé) aux dates 1803-1864 (qui sont celles de Jan Kanty).

Arrière-petits-enfants
Fils de François Xavier
1) Jean
2) Théodore

Fils de Paul
3) Jan Kanty (1803-1864) (lien Sejm Wielki)
« Syn Pawła Wołowskiego i Marianny Szymanowskiej, uczony, adwokat, prokurator, Główny Dyrektor Sprawiedliwości w rządzie Królestwa Polskiego, pierwszy dziekan Wydziału Prawa i Administracji Szkoły Głównej Warszawskiej, współtwórca „Kodexu Cywilnego Królestwa Polskiego”. W 1863 r. car pozbawił go piastowanych stanowisk, ponieważ Kanty podejrzewany był o popieranie powstania styczniowego i działania antyrządowe. W wyniku śledztwa, pod koniec 1863 roku został zesłany na Sybir do miejscowości Narowczat, gdzie zmarł 31.10.1864 roku na zapalnie płuc. » 
Traduction
[Fils de Paul Wolowski et de Marianne Szymanowska, lettré, avocat, procureur, Directeur principal de la Justice dans le gouvernement du royaume de Pologne, premier doyen de la Faculté de Droit et d’administration de l’Ecole supérieure de Varsovie, collaborateur au Code civil du royaume de Pologne. En 1863, le tsar le priva des postes ???, étant donné que Kanty était soupçonné de soutenir le soulèvement de Janvier et de menées antigouvernementales. Résultat de l’enquête, vers la fin de 1863, il fut envoyé en Sibérie, dans la localité de Narowczat, où il mourut le 31 octobre 1864 d’une inflammation des poumons. »

Analyse
1) Cette source nous indique les noms (juifs et chrétiens) de quatre fils d’Elisha :
*Salomon (Szlomo) converti sous le nom de François Lucas (Franciszek Lukasz)
*Nathan (Natan) converti sous le nom de Michel (Michal°)
*Judas (Jehuda) converti sous le nom de Jean (Jan)
*Isaac (Icchak) converti sous le nom de Henri (Henryk)
La concordance avec la liste du site Jewish Virtual Library est donc imparfaite.

2) En ce qui concerne l’accès à la noblesse, le site ne cite que Jan Kanty présenté comme fils d’un « Paul Wolowski » non identifié ; par ailleurs, la date de son anoblissement est 1839, l’année où selon JVL, a été anobli un autre Jean, fils de François Xavier.

3) Comme le site JVL, celui-ci indique que Salomon/François Lucas fils d'Elisha, a eu un fils portant les mêmes prénoms chrétiens, François Lucas (1732-1813).
En revanche, le site Sejm Wielki (lien) indique l’existence d’une seule personne « Franciszek Salomon Łukasz "Szloma" Wołowski » (1732-1813), fils d’Elisha.

A suivre



Création : 17 mai 2017
Mise à jour :
Révision : 4 juillet 2017
Auteur : Jacques Richard
Blog : Sur Frédéric Chopin Questions historiques et biographiques
Page : 299 La famille Wolowski 2 : selon le site Wirtualny Sztetl
Lien : http://surfredericchopin.blogspot.fr/2017/05/wirtualny-sztetl.html









mercredi 10 mai 2017

296. La famille Wolowski 7 : François et Louis Wolowski, période française

Quelques informations biographiques sur François Wolowski, sur son fils Louis et sur leurs familles : après l’insurrection de 1830-1831


Classement : histoire de la Pologne ; histoire de la France ; réfugiés polonais ; famille Wolowski




Troisième partie : La nationalité de Frédéric Chopin, notamment :



Sommaire de la page
Introduction
La famille Wolowski
Sources
François Wolowski
*Après l’insurrection
*En France
Louis Wolowski
*Après l’insurrection
*En France
Autres membres de la famille
*Les autres enfants de François Wolowski
*Autres
La famille Wolowski et Chopin
Annexe : Acte de décès de Louis Wolowski

Introduction
dans laquelle j’étudie ces deux personnalités avant leur installation en France (suite à l’insurrection de 1830-1831) :
**François Wolowski (Franciszek Wołowski, 1786*-1844), juriste et homme politique, est l’arrière-petit-fils d’Elisha Shor, dont les enfants se sont convertis au christianisme en 1759.
**Louis Wolowski, son fils (Ludwik Franciszek Michał Reymond Wołowski, 1810-1876), naturalisé français en 1834, économiste et homme politique libéral notable de la monarchie de Juillet au début de la IIIème République.

La famille Wolowski
Cette famille polonaise est en partie devenue française à l’occasion de la Grande Emigration, à laquelle ont participé François Wolowski (1776-1844), juriste, et son fils Louis (1810-1876), naturalisé français en 1834. Un autre membre illustre de cette famille est la musicienne Marie Szymanowska née Wolowska (1789-1831).
Il s’agit d’une famille anciennement juive de la ville de Rohatyn, issue d’Elisha Shor (mort en 1757), dont les enfants se sont convertis au christianisme au milieu du XVIIIème siècle dans le cadre d'un mouvement religieux messianique créé par Jacob Frank (1726-1791).
Ce mouvement est évoqué plus en détail sur la page La famille Wolowski 2 : selon Pawel Maciejko (présentation de l’ouvrage).

Sources
François et Louis
*Notice du site Jewish virtual library sur la famille Shor/Wolowski (lien)
François
*Franciszek Eliasz Wołowski h. Na Kaskach (lien sur le site Sejm Wielki)
*François Wolowski (lien sur Geneanet)
*Notice d’un livre de biographies (Joseph Straszewicz, Les Polonais et Polonaises de la révolution du 29 novembre 1830: ou Portraits des personnes qui ont figuré dans la dernière guerre d’indépendance, Paris, Imprimerie A. Pinard, 1832)
*Życie Franciszka Wolowskiego, deputowanego na Sejm Królestwa Polskiego czytane na posiedzeniu Towarzystwa Literackiego Polskiego w Paryżu dnia 16 maja 1844 roku, Paris, Imprimerie de Maulde, 1844 [Vie de François Wolowski, député à la Diète du Royaume de Pologne, lue à la séance de la Société littéraire polonaise à Paris du 16 mai 1844]
Louis
*« Ludwik Wołowski h. Na Kaskach » (lien sur le site Sejm Wielki)
*« Louis Wolowski » (lien sur Geneanet)
* « Louis, François, Michel, Raymond Wolowski » sur le site de l’Assemblée nationale (lien)
* Louis Wolowski (notice Wikipédia)
*Acte de décès de Louis Wolowski (reproduit en bas de page)
*Emile Levasseur, La vie et les travaux de Wolowski, Imprimerie Viéville & Copiomont, 1877 (lien vers une version numérisée)
*Rafał Gerber, Studenci Uniwersytetu Warszawskiego 1808-1831. Słownik biograficzny [Les étudiants de l’Université de vsv 1808-1831. Dictionnaire biographique], page 241 (article reproduit sur le site Sejm Wielki, page Louis Wolowski)
*Gilles Le Béguec, « Louis Wolowski », dans Jean-Marie Mayeur, Les Immortels du Sénat, page 493-496 (lien)
*Dossier de la Légion d’honneur (lien vers la base Léonore)
*Nécrologie, dans L’Exposition universelle 1878 (lien)
*Kacper Bajon, « Bankier i rewolucja », site Newsweek-pl, 29 janvier 2011 (lien)
Famille Wolowski en France
*Site Polskie Groby we Francji [Tombes polonaises en France] ; nombre de membres de la famille, dont François et Louis, sont inhumés au cimetière du Père-Lachaise (Kwatera 26,r. 1 ch. Molière, g. 4 ch. du Dragon), ainsi que Thècle Wolowska (lien).
*Site Calames

François Wolowski
Après l’insurrection
Le nom de François Wolowski n’apparaît pas parmi les condamnés à mort de 1833, soit graciés, soit confirmés comme « contumaces » en 1834, dont la liste est donnée dans un livre de Joseph Bem (La Pologne dans ses anciennes limites : le duché de Moscou en 1473, et l'empire des Russies actuel*, Paris, 1837, p. 490, ouvrage disponible sur Google Books)
En France
Il est l’auteur d’une étude des législations polonaises antérieures à l’instauration du Code Napoléon (1808), intitulée « Coup d’œil sur la législation polonaise » et parue dans la Revue de législation et de jurisprudence (Paris) en 1838-1839. Cet article est étudié sur une page spécifique.

Louis Wolowski
Après l’insurrection
Il se trouve en France dès avant la fin de l’insurrection en tant que secrétaire à la légation de la Pologne insurgée à Paris.
On note un « Louis Wolowski » parmi les condamnés aux fers (10 ans), peine confirmée pour contumace (ibidem).
En France
En 1833, il épouse Laure Guérin ; ils auront une fille, Françoise (Fanny, 1845-1895), épouse de Louis Passy (1830-1913, chartiste, historien).
Il est naturalisé français en 1834.
En 1834, il fonde la Revue de législation et de jurisprudence, publiée jusqu'en 1853.
Il est député de 1848 à 1851 et de 1871 à 1875.
Il est élu « sénateur inamovible » le 10 décembre 1875.

Autres membres de la famille
Les autres enfants de François Wolowski
*Alexandrine (1812-1905), épouse (1837) de Léon Faucher (1803-1854, ministre sous la Deuxième République), présidente de la Société des Dames polonaises de Paris (Marie-Paule Rambeau, Chopin, page 341) ;
*Casimir (1813-1877), auteur de plusieurs ouvrages (Etudes sur la Pologne ; Méditations religieuses) et contributeur à un ouvrage collectif, La Question polonaise ; mort à Paris
*Félix (1816-1893) ; mort à Osuchow (Posnanie).
Autres
*une nièce de François Wolowski, Nathalie, épouse Emile Levasseur (1828-1911, normalien, économiste, professeur au Collège de France).

La famille Wolowski et Chopin
On a connaissance de relations entre la famille Wolowski et Chopin :
Alexandrine Wolowska est élève de Chopin dans les années 1830 et est dédicataire de la Mazurka en si bémol majeur (opus 7/1).
Dans une lettre du 11 octobre 1841 à Julien Fontana (Korrespondencja Fryderyka Chopina, II, 43), Chopin écrit : « En ce qui concerne la vente des meubles, je serais un filou, un juif, à l’instar du docteur Wolowski, si je vendais mon vieux bric-à-brac – qu’il te serve. » (R, p. 609). On peut supposer que l'origine juive de la famille Wolowski était de notoriété publique, mais elle n'explique pas qui au juste est ce « docteur Wolowski » ni s'il y a une raison plus précise pour cette mention un peu péjorative.
Le 17 octobre 1850, lors de l'inauguration du monument de Chopin au cimetière du Père-Lachaise Louis Wolowski prononce un discours (Marie-Paule Rambeau, Chopin, p. 900).

Annexe
Acte de décès de Louis Wolowski (AD 27, Gisors, 15 août 1876, vue 586) :
« L’an mil huit cent soixante-seize [etc.], sont comparus Louis Paulin Passy, âgé de quarante-cinq ans, député, sous-secrétaire d’Etat au Ministère des Finances, gendre du défunt ci-après nommé, et Félix Wolowski, âgé de cinquante neuf ans, propriétaire, demeurant à Paris, rue Boissy d’Anglas, cinq, frère dudit défunt, lesquels nous ont déclaré que : Louis-Michel-Raymond Wolowski, âgé de soixante-six ans, Sénateur, Membre de l’institut, Officier de la Légion d’Honneur, né à Varsovie le trente-un août mil huit cent dix, époux de Laure Marie Clara Guérin, âgée de soixante-deux ans, domiciliée à Paris, rue de Clichy, quarante-cinq, avec laquelle il avait contracté mariage à Paris le vingt mai mil huit cent trente-trois, fils des défunts François Wolowski et Thècle Wolowska, son épouse, est décédé ce matin à minuit et quart au domicile de Monsieur Passy, rue des Fontaines, sept. [etc.] »




Création : 10 mai 2017
Mise à jour :
Révision : 4 juillet 2017
Auteur : Jacques Richard
Blog : Sur Frédéric Chopin Questions historiques et biographiques
Page : 296 La famille Wolowski 7 : François et Louis Wolowski, période française
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